• Fond et éclisse en palissandre de rio.
• Table en Epicéa chenillé Européen du début des années 50.
• Manche en Acajou des années 50.
• Touche en Ebène veinée.
• Chevalet en Ebène. »
• Micro "Fishman" passif.
La forme de cette guitare à été calquée sur le : « modèle pour dames » d’Arthur Carbonnel, luthier guitare à Marseille.
J’ai décidé pour cette deuxième réalisation sur cette forme, de l’Américaniser et de la moderniser.
Cette guitare est donc devenue une Parlor, barrages en X, tête ouverte, destinée au picking.
Le manche est large sans excès avec 47 mm au sillet, son profil rond et fin procure une prise en main immédiate.
La touche offre un radius progressif de 10 à 12 pouces très confortable tant pour les barrés que pour le jeu en arpège.
Le manche offre 14 frettes hors caisse afin de ne pas limiter le répertoire du musicien.
Cette guitare possède de très jolis aigus perlés, des médiums très présents, et des basses fermes. Elle est puissante et projette énormément.
Elle est la guitare idéale des mélodistes et des joueurs de ragtime ou de blues.
L’amplification Fishman (simple micro passif) ne nécessite pas de pile 9 volts ou autre préampli.
Il suffit de se brancher dans un ampli ou une sono pour profiter d’un son rond et dynamique dont la chaleur et la profondeur
n’ont rien à envier à de modèle de plus grandes tailles. Les basses en particulier se révèlent puissantes sans jamais s’amollir.
La finition volontairement classique et sobre à permit de réduire son prix d’achat, tout en offrant les atouts d’une guitare de luthier.
Sa propriétaire Carole Besançon, à été séduite par son esthétique « guitare de blues à l’ancienne », par le son et le confort de l’instrument.
Son format réduit en fait la guitare de voyage qu’elle recherchait.
PS : Cette guitare se nomme MATILDA, en référence à la chanson "THE LOVE ME OR DIE" de C.W STONEKING.